Lectures érotiques et/ou pornographiques

simulacre said:
Est-ce que c'est aujourd'hui le bon lundi??? :confused:

Je taquine, j'ai pas pu m'en empêcher! :p

Non.

Pas-t-encore, ma chérie.

Ce qui me rappelle, inéluctablement qu’ « Il ne faut jamais faire de projets, surtout en ce qui concerne l’avenir. » (Alphonse ALLAIS)
 
simulacre said:
Cher Mr Edward,

Je veux bien vous fournir un point de départ, j'ai toujours plus d'idées que de temps pour les développer. Donnez-moi par contre une catégorie qui vous inspire plus particulièrement, je ne voudrai pas vous faire écrire de la science-fiction si vous en avez horreur. :confused:

Je parlais bien sûr de nouvelles érotiques, mais peut-être pensiez vous à un sous genre science fiction érotique? J'aime bien la science fiction mais en terme d'érotisme, je préfererais rester dans notre époque.
 
Mr Edward said:
Je parlais bien sûr de nouvelles érotiques, mais peut-être pensiez vous à un sous genre science fiction érotique? J'aime bien la science fiction mais en terme d'érotisme, je préfererais rester dans notre époque.

Oui, bon... j'avais compris qu'on parlait d'histoires érotiques. Pas nécessairement de "nouvelles" par contre puisque celles-ci impose quelques particularités, notamment concernant la fin, qui peuvent s'avérer contraignantes pour quelqu'un qui admet d'emblée avoir de la difficulté à terminer ses histoires érotiques. ;)

Note à soi-même: ne plus faire allusion à la blondeur de ta personne celà semble créer ou entretenir une certaine confusion.

Je faisais tout simplement référence aux catégories sous lesquelles Lit classifie les histoires érotiques puisque vous avez parlé de nous l'offrir ici même. Mais oubliez cela, faisons plutôt le lien avec ce fil de discussion qui s'en va irrémédiablement à la dérive. Pourquoi ne pas simplement vous inspirer du poème que j'ai mentionné au tout début: Les bijoux de Baudelaire. Cette créature ne portant autre chose que ses bijoux et posant pour son amant me semble tout à fait digne de susciter l'émoi. C'est le premier poème que j'ai appris par coeur et il a toujours su susciter une réaction chez les amants à qui je l'ai récité. Je vous le recopie dans son entier au cas où vous n'auriez pas Les fleurs du Mal.

La très-chère était nue, et, connaissant mon coeur,
Elle n'avait gardé que ses bijoux sonores,
Dont le riche attirail lui donnait l'air vainqueur
Qu'ont dans leurs jours heureux les esclaves des Mores.

Quand il jette en dansant son bruit vif et moqueur,
Ce monde rayonnant de métal et de pierre
Me ravit en extase, et j'aime à la fureur
Les choses où le son se mêle à la lumière.

Elle était donc couchée et se laissait aimer,
Et du haut du divant elle souriait d'aise
À mon amour profond et doux comme la mer,
Qui vers elle montait comme vers sa falaise.

Les yeux fixés sur moi, comme un tigre dompté,
D'un air vague et rêveur elle essayait des poses,
Et la candeur unie à la lubricité
Donnait un charme neuf à ses métamorphoses;

Et son bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins,
Polis comme de l'huile, onduleux comme un cygne,
Passaient devant mes yeux clairvoyants et serains;
Et son ventre et ses seins, ces grappes de ma vigne,

S'avançaient, plus câlins que les Anges du mal,
Pour troubler le repos où mon âme était mise,
Et pour la déranger du rocher de cristal
Où, calme et solitaire, elle s'était assise.

Je croyais voir unis par un nouveau dessin
Les hanches de l'Antiope au buste d'un imberbe,
Tant sa taille faisait ressortir son bassin.
Sur ce teint fauve et brun le fard était superbe!

-Et la lampe s'étant résignée à mourir,
Comme le foyer seul illuminait la chambre,
Chaque fois qu'il poussait un flamboyant soupir,
Il inondait de sang cette peau couleur d'ambre!

Voilà Mr Edward, en espèrant que vous y trouverez l'inspiration cherchée :rose:
 
Burokrat said:
Non.

Pas-t-encore, ma chérie.

Ce qui me rappelle, inéluctablement qu’ « Il ne faut jamais faire de projets, surtout en ce qui concerne l’avenir. » (Alphonse ALLAIS)

Ma chérie? :eek:

Sim suivant le fil de ses pensées: Curieusement personne ne l'a jamais appelé ainsi... elle est un peu troublée par le charme vieillot de l'expression, mignon pourtant malgré la condescendance qu'on peut y attacher. La voilà partie dans des réflexions portant sur la connotation, subjective, bien sûr, qu'on attache au mot... elle l'aime bien ce mot là; chérie
 
Diantre! Et c'est moi qui passe après Baudelaire...lol Enfin, ce poème est évidemment magnifique, je ne m'en rappelais pas même si j'ai une édition des Fleurs du mal ici même des années 50 avec des dessins de Baudelaire lui même! Collector.
Ce poème a suscité des images en moi, je vais voir ce que je peux en faire donc. Allez, au boulot mon garçon. :nana: lol
 
Bon. Je sais, je sais, c’est pas lundi aujourd’hui. Mais j’en ai rien à foutre, voyez-vous ?

D’accord, d’accord. Département spécifiquement littérature érotique, pas fort, pas fort. À tiens, oui… L’École des biches, dans une réédition illustrée datant des années 70… un récit qui se présente comme une pièce de théâtre, selon une solide tradition discursive. Les scènes les plus scabreuses sont dites plutôt que décrites. L'impact érotique n'en est que plus fort et permet de réaliser à peu près tous les fantasmes de l'accouplement amoureux… dans son genre, fort d'un équilibre exemplaire, L'École des biches a rarement été égalé.

Quelques autres bouquins d’un érotisme vulgaire occupent le coin inférieur droit de ma chancelante bibliothèque.

Et d’aucuns connaissent mon intérêt pour les bandes dessinées. Quelques Pichard (Paulette, Violette, Kamasutra et compagnie), Crumb et plusieurs espagnols qui vaudraient mieux ne pas étaler sur ce forum fran-co-pho-ne, dois-je le répéter, stie !

Mais Pichard. Miam. Mon meilleur. Dieu ait son âme.

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Last edited:
Mr Edward,

vous me voyez heureuse que Baudelaire semble vous avoir inspiré:

Vous parlez de Baudelaire, quel meilleur example pour moi qui n'a jamais vu un potentiel érotique dans ses poèmes, mais pour moi j'entends!

Qui sait, peut-être aurez-vous envie de vous y replonger. Il y a un auteur anglophone sur Lit (dont j'aime bien la plume) qui a fait une petite histoire autour de la thématique des bijoux l'an dernier pour Noël: Dr Mabeuse The stones of christmas . Jetez-y un coup d'oeil quand vous en aurez l'envie mais peut-être pas avant d'avoir terminé votre propre petite histoire (au cas où ses images à lui remplaceraient les vôtres, enfin c'est vous qui savez si vous êtes facilement influençable ou non).
 
Burokrat said:
Bon. Je sais, je sais, c’est pas lundi aujourd’hui. Mais j’en ai rien à foutre, voyez-vous ?

Ahhh! Le coquin! Et juste au moment où je m'étais résolue à attendre le lundi suivant. ;) C'est un art de savoir se laisser désirer, cultiver l'attente et de surprendre au moment où on ne vous attends plus. Un art que vous semblez maîtriser... [SIZE=1]Sim se demande si cette maîtrise s'applique aussi aux ébats...[/SIZE]

Ceci dit, ça valait la peine d'attendre puisque je ne connais pas L’École des biches et que quelques recherches après vous avoir lu m'indiquent que c'est une lacune que je doit absolument combler. J'y verrai.

Et d’aucuns connaissent mon intérêt pour les bandes dessinées. Quelques Pichard (Paulette, Violette, Kamasutra et compagnie), Crumb et plusieurs espagnols qui vaudraient mieux ne pas étaler sur ce forum fran-co-pho-ne, dois-je le répéter, stie !

Je dois admettre que mon éducation reste à faire dans ce domaine. À part quelques manga (ok, ok plusieurs j'admets) et BD ici et là, je n'ai pas vu grand chose et n'y connaît rien. Ce n'est pourtant pas l'intérêt qui manque...
 
simulacre said:
Mr Edward,

vous me voyez heureuse que Baudelaire semble vous avoir inspiré:



Qui sait, peut-être aurez-vous envie de vous y replonger. Il y a un auteur anglophone sur Lit (dont j'aime bien la plume) qui a fait une petite histoire autour de la thématique des bijoux l'an dernier pour Noël: Dr Mabeuse The stones of christmas . Jetez-y un coup d'oeil quand vous en aurez l'envie mais peut-être pas avant d'avoir terminé votre propre petite histoire (au cas où ses images à lui remplaceraient les vôtres, enfin c'est vous qui savez si vous êtes facilement influençable ou non).

Je reviens sur ce que je disais de Baudelaire. Je ne me rappelais plus de ce poème, qui est profondément érotique, je crois que cela va sans dire.
En ce qui concerne l'histoire sur Lit, je crois que je ne préfère pas la lire avant d'avoir fini. Je crois que je commence à trouver un fil d'histoire intéressant donc mieux vaut ne pas s'égarer.
Je me suis cependant mis à lire Les Onze Mille Verges que je ne connaissais pas, et qui ma fois est plus amusant que vraiment stimulant. Il me rappelle un peu certains des fantasmes que j'écris, plus par souçis d'expérimenter que de les montrer vraiment à quelqu'un, même si c'est arrivé parfois.
 
Burokrat said:

Je crois avoir aperçu cette bande dessinée chez un cousin qui avait une grande collection...L'encyclopédie érotique ou quelque chose comme ça en une dizaine de volumes avec une couverture de cuir rouge et doré, qu'il avait mis bien en hauteur pour qu'autour de 14 ans je n'y arrive pas, mais j'y suis bien arrivé. Manara bien sûr était une de mes premières découvertes...ainsi que Corben avec ses Mille et une nuit, Rolf etc.
Qui se rappelle de Bernard Lermite? Une sorte de petit binoclard pervers qui se retrouvait toujours comme par hasard avec des femmes qui voulaient le foutre à poil lol
Hm ça me rappelle que je devrais jeter un coup d'oeil sur amazon ou ebay...;)
 
Si je puis me permettre, et après tout, diantre, pourquoi ne me permettrais-je pas, foutre, ne suis-je pas Maître Chauder?, Bernard Lermite n'est pas binoclard. Mais il mériterait de l'être, au vu des bévues, gaffes et autres qui parsèment ses aventures.
Au nombre de 7, si je peux étaler ma science:
tome 1, 1979 : Bernard Lermite Ed.du Fromage pour l'édition originale.
tome 2, 1979 : Plus lourd que l'air Ed.du Fromage pour l'édition originale.
tome 3, 1980 : Personnellement je ne veux pas d'enfants, mais les miens feront ce qu'ils voudront Ed.du Fromage pour l'édition originale.
tome 4, 1981 : L'éternel féminin dure Ed.du Fromage pour l'édition originale.
tome 5, 1982 : Ce n'est plus le peuple qui gronde mais le public qui réagit Ed.Dargaud pour l'édition originale.
tome 6, 1988 : Peut-on fumer après la mort? Ed.Albin Michel pour l'édition originale
tome 7, 1993 : Le pagure est connu

Oui, j'en possède (possédais serait plus exact, les aléas des déménagements successifs...) l'intégrale. J'aime beaucoup la façon dont Martin Veyron dessine les femmes. Moins osé que Manara, mais bien explicite quand même.
J'ai le souvenir d'une série de dessins qui illustraient un article du Nouvel Obs (cela fait deux fois que je cite ce niouze magazine, mon avatar va se retourner dans sa tombe...) consacré aux ... allez, aux partouzes, enfin aux nouveaux comportements sexuels des Français pour faire dans le politiquement correct.
Je vous résume? Je vous résume.
Dessin 1: une partouze. Pas la peine de développer, vous savez toutes et tous, au moins pas ouï-dire, de quoi il retourne. Un homme seul, regarde la la fenêtre, indifférent aux ébats qui se déroulent autour de lui.

Dessin 2: Par la fenêtre, l'homme solitaire, indifférent aux ébats qui, etc... voit dans l'immeuble d'en face un couple s'embrasser, se câliner, en un mot..; bref, vous voyez ce que je veux dire.

Dessin 3: Les ébats somme toute classiques du couple d'en face, tendres, câlins, amoureux, interessent les uns après les autres les participants de la partouze.

Dessin 4: Le couple amoureux d'en face en a terminé avec ses ébats, la femme s'endort dans les bras de son amant. Les partouzards n'osent plus se regarder, sifflottent, allument une clope, se souviennent qu'ils ont oublié d'éteindre le gaz en partant...

Bon, je résume, et ma plume n'a pas le talent de celle de Veyron. Mais vous saisissez l'idée générale. Et vous en tirez la conclusion que vous voulez.


Puisque de littérature, nous dévions insensiblement (et le jour n'est pas si lointain où nous disserterons sur Derrière la porte verte et autres classiques du genre), j'avoue un trouble indéfinissable devant certaines photos de Jan Saudek....

Pour en revenir à votre idée, chère Simulacre (l'épithète de chérie étant réservée à l'estimé Burokrat :D ), elle est bien tentante...
Pour ne pas faire concurrence au talentueux Mr Edward, peut être accepteriez vous de soumettre à mon imagination une autre piste de départ?
Quoi qu'il en soit, j'ai hâte de vous lire et l'une et l'autre...

Ah, une dernière chose, à propos de Baudelaire... connaissez-vous la chevelure? Non, pas celle-ci:
O toison, moutonnant jusque sur l'encolure!
O boucles! O parfum chargé de nonchaloir!,
une autre... dont je n'arrive pas à me souvenir, et qui n'est pas dans les Fleurs du Mal? Peut-être pas la chevelure, alors, la toison?
Un symptôme précoce d'Alzeimer, vous croyez?
 
Last edited:
chauderlos said:
J'ai le souvenir d'une série de dessins qui illustraient un article du Nouvel Obs (cela fait deux fois que je cite ce niouze magazine, mon avatar va se retourner dans sa tombe...) consacré aux ... allez, aux partouzes, enfin aux nouveaux comportements sexuels des Français pour faire dans le politiquement correct.
Je vous résume? Je vous résume.
Dessin 1: une partouze. Pas la peine de développer, vous savez toutes et tous, au moins pas ouï-dire, de quoi il retourne. Un homme seul, regarde la la fenêtre, indifférent aux ébats qui se déroulent autour de lui.

Dessin 2: Par la fenêtre, l'homme solitaire, indifférent aux ébats qui, etc... voit dans l'immeuble d'en face un couple s'embrasser, se câliner, en un mot..; bref, vous voyez ce que je veux dire.

Dessin 3: Les ébats somme toute classiques du couple d'en face, tendres, câlins, amoureux, interessent les uns après les autres les participants de la partouze.

Dessin 4: Le couple amoureux d'en face en a terminé avec ses ébats, la femme s'endort dans les bras de son amant. Les partouzards n'osent plus se regarder, sifflottent, allument une clope, se souviennent qu'ils ont oublié d'éteindre le gaz en partant...

Bon, je résume, et ma plume n'a pas le talent de celle de Veyron. Mais vous saisissez l'idée générale. Et vous en tirez la conclusion que vous voulez.

Un petit sourire de rien du tout s'est dessiné sur mes lèvres, qui ne se reconnait pas du moins en partie? Même si les partouzes n'ont jamais été réalité, même si elles n'appartiennent qu'à l'univers du fantasme, de quoi avons nous soif?

Puisque de littérature, nous dévions insensiblement (et le jour n'est pas si lointain où nous disserterons sur Derrière la porte verte et autres classiques du genre), j'avoue un trouble indéfinissable devant certaines photos de Jan Saudek....

Encore un ecueil à combler, je ferais une recherche.

Pour en revenir à votre idée, chère Simulacre (l'épithète de chérie étant réservée à l'estimé Burokrat :D ), elle est bien tentante...
Pour ne pas faire concurrence au talentueux Mr Edward, peut être accepteriez vous de soumettre à mon imagination une autre piste de départ?
Quoi qu'il en soit, j'ai hâte de vous lire et l'une et l'autre...

Troublante, cette épithète... chaque mot contient un univers et cet univers diffère pour chacun puisque notre expérience, nos désirs, nos rêves, le petit noyau qui forme l'être que nous sommes diffèrent. C'est drôle comme un mot peut nous surprendre, nous révéler à nous-même. Je ne savais pas que j'avais envie que quelqu'un m'appelle "ma chérie", maintenant je sais. Pas seulement chérie mais le possessif qui l'accompagne également. Burokrat est tombé dessus sans savoir, par hasard, en badinant...

Chaque mot, chaque épithète contient un univers...

Laissez-moi le week-end pour trouver une piste de départ qui pourrait convenir à l'image que j'ai de vous...

Ah, une dernière chose, à propos de Baudelaire... connaissez-vous la chevelure? Non, pas celle-ci:
O toison, moutonnant jusque sur l'encolure!
O boucles! O parfum chargé de nonchaloir!,
une autre... dont je n'arrive pas à me souvenir, et qui n'est pas dans les Fleurs du Mal? Peut-être pas la chevelure, alors, la toison?
Un symptôme précoce d'Alzeimer, vous croyez?

Dans Petits poëmes en prose peut-être? Qui est d'ailleurs le mirroir des Fleurs du mal.

Un Hémisphère dans une chevelure

Laisse-moi respirer longtemps, longtemps, l'odeur de tes cheveux, y plonger tout mon visage, comme un homme altéré dans l'eau d'une source, et les agiter avec ma main comme un mouchoir odorant, pour secouer des souvenirs dans l'air.

Si tu pouvais savoir tout ce que je vois! tout ce que je sens! tout ce que j'entends dans tes cheveux! Mon âme voyage sur le parfum comme l'âme des autres hommes sur la musique.

Tes cheveux contiennent tout un rêve, plein de voilures et de mâtures; ils contiennent de grandes mers dont les moussons me portent vers de charmants climats, où l'espace est plus bleu et plus profond, où l'atmosphère est parfumée par les fruits, par les feuilles et par la peau humaine.

Dans l'océan de ta chevelure, j'entrevois un port fourmillant de chants mélancoliques, d'hommes vigoureux de toutes nations et de navires de toutes formes découpant leurs architectures fines et compliquées sur un ciel immense où se prélasse l'éternelle chaleur.

Dans les caresses de ta chevelure, je retrouve les langueurs des longues heures passées sur un divan, dans la chambre d'un beau navire, bercées par le roulis imperceptible du port, entre les pots de fleurs et les gargoulettes rafraichissantes.
Dans l'ardent foyer de ta chevelure, je respire l'odeur du tabac mêlé à l'opium et au sucre; dans la nuit de ta chevelure, je vois resplendir l'infini de l'azur tropical; sur les rivages duvetés de ta chevelure je m'enivre des odeurs combinées du goudron, du musc et de l'huile de coco.

Laisse-moi mordre longtems tes tresses lourdes et noires. Quand je mordille tes cheveux élastiques et rebelles, il me semble que je mange des souvenirs.


Celui-là? J'aime beaucoup ce recueil de Baudelaire...

Je rigole un peu parce qu'hier soir en travaillant sur une petite histoire j'ai écrit que mon personnage se réveillait au petit matin le nez dans la nuit de sa chevelure. Je viens de trouver d'où ça venait la nuit de sa chevelure, il va falloir que je trouve quelque chose d'autre...
 
Cher Chauderlos,

Dans le cas de M. Edward, comme je ne connais pas sa plume du tout, j’ai pensé qu’il valait mieux resté un peu plus vague dans ma suggestion, lui laissant pleine liberté. Dans votre cas Maître, j’ai eu un avant goût avec vos petites histoires publiées ici sur Lit et j’ai noté, par l’entremise de l’histoire en anglais, que vous pouviez jouer sur plus d’un registre, donc je hausse les enjeux un peu.

Puisque le nom de Maître vous sieds à merveille, j’ai pensé qu’il faudrait quelque chose qui tourne autour de ce thème, quelqu’un d’une plus grande sagesse, d’un plus grand savoir qui le partage. (Les flatteries c’est mieux que la pomme pour le professeur, non? Je n’ai pas réussi à avoir de punition la semaine dernière en classe, à moins que… c’était peut-être ça ma punition; ne pas être punie. Il est malin le rouquin. :( Bon alors, cette semaine j’essaie une autre tactique en dehors des heures de cours avec le « vrai » maître). De là j’en suis venu au thème de l’initiation, toujours un grand favori dans les histoires érotiques. Par contre la petite ingénue à peine nubile… pas vraiment pour moi, merci.

Voici donc votre point de départ :

Deux amies se rencontrent dans un café, celle qui nous intéresse plus particulièrement, est divorcée depuis quelque temps déjà. Sa meilleure amie s’inquiète qu’elle n’ait jamais de rendez-vous. On découvre au cours de la conversation qu’elle est un peu (beaucoup, peut-être) réservée côté sexualité, pas sûre d’aimer ça la pauvre et elle n’a eu que son ex comme partenaire. Sa meilleure amie indignée (cela va de soi) conclut que l’ex était un bon à rien même dans le lit. Quelques jours plus tard, la meilleure amie lui remet une carte avec dessus…? Un no. de téléphone? une adresse e-mail? Une adresse de boite postale? (ce qui vous plaira) lui disant que cette personne dont elle ne révèle pas le nom peut l’aider et qu’elle a toute confiance en lui, qu’il n’y a aucun danger.

Pas très original, hum? Voilà tout l’intérêt justement, vous partez avec une recette et en faites quelque chose de plus particulier.

Précisions :

À noter que je n’ai pas dit que cette conversation doit se retrouver dans l’histoire, c’est votre point de départ à vous mais vous pouvez tout aussi bien laisser savoir à votre lecteur que cette conversation à eu lieu sans la lui montrer.

Aucune requête quand à qui est le narrateur et quel point de vue en narration adopter, donc déjà la ça vous laisse plusieurs choix d’histoires possibles (parce qu’on sait que l’histoire est différente selon qui raconte et que le mode de narration choisi restreint automatiquement ce que l’on peut raconter. La narration c’est mon cauchemar à moi, et vous?). Vous pouvez même y aller avec le mode épistolaire si vous voulez.

Cet inconnu sera évidemment l’initiateur. Vous pouvez en faire ce que vous voulez soit lui faire mettre le doigt sur les perversions de la jolie dame (on en a tous, non?) et les explorer, soit y aller en douceur (puisque vous avez déjà montré que la douceur vous attirait) en posant ce personnage comme celui qui guidera tendrement la jolie dame vers son épanouissement ou encore un peu des deux. Vous devrez par contre montrer une certaine gradation dans l’initiation; selon moi elle doit d’abord découvrir son propre corps (ex : miroir? Rasage? sortie en jupe sans petite culotte? ou ce que vous voudrez) mais c’est vous l’auteur.

Je n’ai pas dit non plus qu’elle doit le rencontrer, à vous de voir comment se déroulera l’histoire. Il peut aussi bien la guider en personne, qu’à distance. Là encore ça vous laisse plusieurs choix par exemple si vous choisissez la distance, comment raconterez-vous l’initiation? Si c’est son point de vue à elle que vous adoptez en narration, vous pourrez la suivre dans son exploration. Par contre si c’est son point de vue à lui, est-ce qu’elle fera des comptes-rendus? Ça peut même être lui qui s’imagine comment elle vit l’initiation, les « tâches » qu’il lui aura imposées (ça peut être une façon intéressante d’aborder l’histoire)? Si vous choisissez de les faire se rencontrer, ça vous laisse plus de liberté pour écrire, par contre la distance crée une tension avec laquelle vous pouvez jouer. Vous pouvez également faire les deux, d’abord la distance ensuite la présence bien sûr ou vous pouvez choisir de ne pas révéler qui il est, laissant l’héroïne penser qu’il pourrait être n’importe lequel des hommes qu’elle voit dans la rue. Peut-être même que lui non plus ne sait pas qui elle est? La meilleure ami serait alors la seule qui sait (ce qui ouvre une autre porte ici, peut-être que c’est la meilleure amie qui raconte, dépositaire des confidences des autres personnages). Vous pouvez également révéler l’identité de l’initiateur au lecteur sans le révéler à l’héroïne? Peut-être que c’est un parfait inconnu mais peut-être que c’est quelqu’un qu’elle connaît très bien ou qu’elle a déjà connu? Il peut même être amoureux d’elle?

Je ne vous dit pas non plus sur combien de temps et de quelle façon se déroulera l’initiation. Rien n’empêche non plus de faire entrer d’autres personnages en jeu ou d’utiliser celui de la meilleure amie (par exemple pour l’emmener faire quelques achats; dentelles et vibrateurs).

Enfin, j’arrête là, parce que je vais vous enterrer sous les possibilités. J’ai l’habitude de faire le tour complet des choses, de considérer toutes les possibilités, parfois ça peut être difficile pour quelqu’un d’autre de me suivre si j’ouvre trop de portes. Si vous avez besoin d’aide (ce qui m’étonnerai mais…) ou si vous voulez que je vous indique d’autres façons de traiter le point de départ, je suis toute à vous. Si ça ne vous inspire pas du tout, dites le moi, je vous trouverai quelque chose d’autre et l’écrirai moi-même celle-ci.

En attendant jetez un coup d'oeil à ma signature, ma plume est rouillée et en jetant un coup d'oeil ce matin j'ai déjà vu des fautes et autres petits machins déplaisants mais bon trop tard... j'attends les commentaires qui peuvent être mauvais soit dit en passant, c'est pas en épargant mon égo que je vais faire mieux. ;)
 
simulacre said:
Cher Chauderlos,

, je suis toute à vous....
mais bon trop tard...


Chère Simulacre....

Tout est dit, en ces quelques mots...


Je ne manquerai pas cependant de lire votre prose. Votre égo dût-il en souffrir, me permettrez vous de rendre ces commentaires publics? Bien que, ayant eu un avant goût de vos talents de plume (et je n'ai pas dit: vos talents de tailleuse de plume), je suis certain par avance que vous n'avez pas grand'chose à craindre de ce côté là.

Et de soumettre à votre appreciation les multiples possiblités qu'offrent vos suggestions... La seule condition que j'y mettrai est que, publiquement ou en privé, par de courtes (ou plus longues, au gré de vos humeurs) indications publiques ou privées, vous orientiez mes écrits... Après tout, il s'agit d'un travail de commande...

Il est curieux, cependant, de noter que vous n'êtes pas la seule à me cataloguer du côté du manche (l'abus de l'appellation usurpée -n'étant ni notaire bien que portant la cravate, ni de l'Académie française- de maître?) alors que je serai tellement, pour une heure, une heure seulement, être une heure, une heure, quelque fois... de l'autre côté du dit-manche...

Puisque nous en sommes au chapitre critique littéraire, j'ai lu sur votre recommandation ce petit conte de Noël dans lequel vous vîtes une allusion aux Bijoux... Ma foi, force m'est d'avouer que je suis resté un peu sur ma faim. Certes, l'évocation (bien trop rapide, à peine effleurée) de la jeune fille nue, couverte de bijoux est là. Mais que de passages enflammés, de que paralèles osés entre rubis et tétons, topazes brûlées et clito auraient pu jaillir de la plume de cet auteur...

Ajoutons au chapitre des bijoux, des femmes et des rêves qu'ils suggèrent:

Initials B.B., Serge Gainsbourg
(B.B. étant, bien sûr, Brigitte Bardot)

Une nuit que j'étais
A me morfondre
Dans quelque pub anglais
Du coeur de Londres
Parcourant l'Amour Mon-
Stre de Pauwels
Me vint une vision
Dans l'eau de Seltz

Tandis que des médailles
D'impérator
Font briller à sa taille
Le bronze et l'or
Le platine lui grave
D'un cercle froid
La marque des esclaves
A chaque doigt

Jusques en haut des cuisses
Elle est bottée
Et c'est comme un calice
A sa beauté
Elle ne porte rien
D'autre qu'un peu
D'essence de Guerlain
Dans les cheveux

A chaque mouvement
On entendait
Les clochettes d'argent
De ses poignets
Agitant ses grelots
Elle avança
Et prononça ce mot:
Alméria


(Les plus attentives de mes lectrices auront noté que j'en parodias, naguère, la première strophe en l'honneur de Melle Pixie dont les charmes ne cessent de me troubler... même lorsque elle confond gorge profonde et branlette espagnole).

Merci également de m'avoir rappelé ce petit poème en prose, que j'ai tendance, par facilité, à négliger au profit des Fleurs du mal. Hélas, ce n'est pas encore ça. Va falloir que je cherche, pff... faut tout faire tout seul ici....

Bon, allez, au boulot.

Cela faisait déjà de longues minutes du Philipp, les yeux dans le vague, fixait sans le voir l'écran de son ordinateur. Le message qui s'y affichait le remplissait de perplexité, il hésitait sur la suite à y donner. Sa première réaction avait été de le supprimer, mais, un peu malgré lui, il avait cliqué sur "répondre à tous".
Après tout, l'option "enregistrer en tant que brouillon" existait aussi...


**********
Ah, j'oubliais: Le Rouquin est exclu pour 3 jours, au motif d'usurpation d'identité.... :D
 
chauderlos said:
Chère Simulacre....

Tout est dit, en ces quelques mots...

:p :D


chauderlos said:
Je ne manquerai pas cependant de lire votre prose. Votre égo dût-il en souffrir, me permettrez vous de rendre ces commentaires publics?

Oui, bien sûr peut-être que d'autres voudront s'en mêler, pourquoi pas. Mon égo ne prends pas sa source dans ma plume et cette dernière a encore beaucoup à apprendre. Une discussion publique ne peut que m'aider dans mes prochaines petites histoires.

chauderlos said:
Et de soumettre à votre appreciation les multiples possiblités qu'offrent vos suggestions... La seule condition que j'y mettrai est que, publiquement ou en privé, par de courtes (ou plus longues, au gré de vos humeurs) indications publiques ou privées, vous orientiez mes écrits... Après tout, il s'agit d'un travail de commande...

Publics ou privés, j'imagine que ça dépend s'il y en a d'autres qui sont intéressés à voir la progression, à vous de voir ce que vous désirez également. Par contre le thread de Mr Edward est en train de partir complêtement à la dérive peut-être qu'il faudrait considérer en ouvrir un autre, pour la discussion sur ma plume aussi d'ailleurs.

Le côté du manche c'est Chauder qui le dicte...

Ah, j'oubliais: Le Rouquin est exclu pour 3 jours, au motif d'usurpation d'identité.... :D

Pourtant c'est moi qui voulais la punition :confused: :D Tant pis pour lui, il avait qu'à me punir quand il en a eu la chance
 
simulacre said:
:p :D




Oui, bien sûr peut-être que d'autres voudront s'en mêler, pourquoi pas. Mon égo ne prends pas sa source dans ma plume et cette dernière a encore beaucoup à apprendre. Une discussion publique ne peut que m'aider dans mes prochaines petites histoires.



Publics ou privés, j'imagine que ça dépend s'il y en a d'autres qui sont intéressés à voir la progression, à vous de voir ce que vous désirez également. Par contre le thread de Mr Edward est en train de partir complêtement à la dérive peut-être qu'il faudrait considérer en ouvrir un autre, pour la discussion sur ma plume aussi d'ailleurs.

Le côté du manche c'est Chauder qui le dicte...



Pourtant c'est moi qui voulais la punition :confused: :D Tant pis pour lui, il avait qu'à me punir quand il en a eu la chance

Ma chere Sim! Ton intelligence et ton imagination sont superbes. J'adore ton idee d'une nouvelle tread sur le sujet. Ne serait-ce que par respect pour Mr, Edward car, en effet la sienne prend le bord comme on dit au Quebec.
J'aime beaucoup votre petite competition a toi et a Maitre Chauder et je suis impatiente de vous lire tous les deux!
Didi :rose:
 
didijune48 said:
Ma chere Sim! Ton intelligence et ton imagination sont superbes. J'adore ton idee d'une nouvelle tread sur le sujet. Ne serait-ce que par respect pour Mr, Edward car, en effet la sienne prend le bord comme on dit au Quebec.
J'aime beaucoup votre petite competition a toi et a Maitre Chauder et je suis impatiente de vous lire tous les deux!
Didi :rose:

:kiss: Didi

Tu viendras t'en mêler un peu? Pas besoin d'écrire toi-même pour avoir une opinion, souvent l'instinct est le meilleur des guides. Mon intelligense a ses limites à mon grand désarroi ;) quant à mon imagination elle, si elle a des limites je ne les ai pas encore rencontrées.
 
simulacre said:
:kiss: Didi

Tu viendras t'en mêler un peu? Pas besoin d'écrire toi-même pour avoir une opinion, souvent l'instinct est le meilleur des guides. Mon intelligense a ses limites à mon grand désarroi ;) quant à mon imagination elle, si elle a des limites je ne les ai pas encore rencontrées.


Bien sur je viendrai!!! J'avais pour habitude d'ecrire oui. Ca fait juste un peu longtemps...mais j'ecrivais des paroles de chansons pour des amis et des debutants. C'etait quand je vivais ma vie en Francais, malheureusement, en dehors d'ici, je ne le pratique guere plus....alors mon vocabulaire et les syntaxes diverses en prennent pour leur rhume!!!!
Bravo pour ton histoire que j'ai lu ce matin, elle me rapelle une histoire vrai un peu differente, mais il y a des similitudes....
Bonne journee! En passant, j'aime beaucoup m'entretenir avec toi et ai enormement apprecie notre petit jeu avec Burokrat dans cette autre tread!
Didi :rose:
 
didijune48 said:
Bien sur je viendrai!!! J'avais pour habitude d'ecrire oui. Ca fait juste un peu longtemps...mais j'ecrivais des paroles de chansons pour des amis et des debutants. C'etait quand je vivais ma vie en Francais, malheureusement, en dehors d'ici, je ne le pratique guere plus....alors mon vocabulaire et les syntaxes diverses en prennent pour leur rhume!!!!

Je comprends ce que tu veux dire, je travaillais exclusivement en anglais avant et plus du tout depuis quelques mois, en jasant au téléphone l'autre jour je me suis apperçu que j'avais un accent :( sur un mot ici et là. Quelques mois sans parler et voilà, c'est frustrant comme ça se perd vite. Si jamais tu te décides à écrire un peu, tu pourras toujours m'y faire jeter un coup d'oeil (j'vois pas mes fautes mais habituellement j'vois celles des autres :rolleyes: ).

Bravo pour ton histoire que j'ai lu ce matin, elle me rapelle une histoire vrai un peu differente, mais il y a des similitudes....

C'est de la fiction bien sûr mais c'est un beau compliment parce que ça veut dire que j'ai du toucher quelque chose de vraisemblable, du arriver a insuffler un peu de vie quelque part. Merci!

Bonne journee! En passant, j'aime beaucoup m'entretenir avec toi et ai enormement apprecie notre petit jeu avec Burokrat dans cette autre tread!
Didi :rose:

Moi aussi Didi! On le laisse tranquille un moment, c'est que tu l'as épuisé quand tu es passée à son bureau! ;) Mais il ne perd rien pour attendre.
 
Mr. Edward,

que vous arrive-t-il donc? Vous êtes perdu dans l'écriture de l'histoire qu'à suscité les bijoux et n'avez plus de temps pour nous?

Je me suis cependant mis à lire Les Onze Mille Verges que je ne connaissais pas, et qui ma fois est plus amusant que vraiment stimulant. Il me rappelle un peu certains des fantasmes que j'écris, plus par souçis d'expérimenter que de les montrer vraiment à quelqu'un, même si c'est arrivé parfois.

Ou encore vous êtes complêtement absorbé par votre lecture?
:rose:
 
simulacre said:
Je comprends ce que tu veux dire, je travaillais exclusivement en anglais avant et plus du tout depuis quelques mois, en jasant au téléphone l'autre jour je me suis apperçu que j'avais un accent :( sur un mot ici et là. Quelques mois sans parler et voilà, c'est frustrant comme ça se perd vite. Si jamais tu te décides à écrire un peu, tu pourras toujours m'y faire jeter un coup d'oeil (j'vois pas mes fautes mais habituellement j'vois celles des autres :rolleyes: ).{/QUOTE}

Frustrant?!?! Non. pas un peu...enormement! Je parle a mon frere au Quebec et je ne trouve pas toujours le mot que je veux lui dire en Francais..juste l'equivalent en Anglais! Le probleme c'est qu'il ne parle pas Anglais!!! LOL


C'est de la fiction bien sûr mais c'est un beau compliment parce que ça veut dire que j'ai du toucher quelque chose de vraisemblable, du arriver a insuffler un peu de vie quelque part. Merci! {/QUOTE}

Oui, mais ce n'etait pas une si jolie histoire croie-moi! La fin est cent fois mieux dans la-tienne. Dans celle que je connais, la fille a eu bien du mal a s'en remettre croie-moi. Mais, effectivement ca se voulait un compliment! :)

Moi aussi Didi! On le laisse tranquille un moment, c'est que tu l'as épuisé quand tu es passée à son bureau! ;) Mais il ne perd rien pour attendre.

Tu es vraiment comique...tu croie que je l'ai epuisee tant que ca!?!...je retournerais bien a son bureau tu sais, il est tres, tres gentil le professeur....et, quel etalon! Je te dis pas!!!!! On pourrait faire un petit party a trois peut=etre....ca te dirait!!! :nana:
Didi :kiss:

Passe une bonne nuit!

PS, comment ca se fait que j'arrive pas a faire comme toi dans ma reponse et faire des petits bouts de reponse avec des petits bouts de phrase????? hannnnn snif-snif
 
Last edited:
chauderlos said:
Cela faisait déjà de longues minutes du Philipp, les yeux dans le vague, fixait sans le voir l'écran de son ordinateur. Le message qui s'y affichait le remplissait de perplexité, il hésitait sur la suite à y donner. Sa première réaction avait été de le supprimer, mais, un peu malgré lui, il avait cliqué sur "répondre à tous".
Après tout, l'option "enregistrer en tant que brouillon" existait aussi...


**********

Juste pour dire que ce passage était supposé être le premier § du devoir proposé par Sim.
 
didijune48 said:
Tu es vraiment comique...tu croie que je l'ai epuisee tant que ca!?!...je retournerais bien a son bureau tu sais, il est tres, tres gentil le professeur....et, quel etalon! Je te dis pas!!!!! On pourrait faire un petit party a trois peut=etre....ca te dirait!!! :nana:

Oui, je pense que tu lui as donné son compte! Mais on dirait qu'il remu un peu, on devrais pouvoir s'y mettre à deux sous peu en espérant qu'il ait de bonnes capacité de récupération. ;)

PS, comment ca se fait que j'arrive pas a faire comme toi dans ma reponse et faire des petits bouts de reponse avec des petits bouts de phrase????? hannnnn snif-snif

Tu avais compris le principe je crois, il faut réinsérer le code pour les quotes (début et fin) entre les bouts de texte. Je pense que tu as seulement utilisé le mauvais caractère: { au lieu de [
 
Last edited:
chauderlos said:
Juste pour dire que ce passage était supposé être le premier § du devoir proposé par Sim.

Les blondes faut tout leur expliquer :rolleyes: :D Oui, oui c'est moi qui avais rien compris
 
didijune48 said:
simulacre said:
Oui, je pense que tu lui as donné son compte! Mais on dirait qu'il remu un peu, on devrais pouvoir s'y mettre à deux sous peu en espérant qu'il ait de bonnes capacité de récupération. ;)
C'est a voir...c'est a voir! ;)



Tu avais compris le principe je crois, il faut réinsérer le code pour les quotes (début et fin) entre les bouts de texte. Je pense que tu as seulement utilisé le mauvais caractère: { au lieu de [
Voila, je fais une nouvelle tentative....je suis pas tres douee pour les trucs d'ordi :eek: J'aurais besoin d'un cours prive pour les nuls...LOL!
 
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