Les opinions superflues du Professeur Chauder

membre said:
Me voici
Egrillard
Merveilleux
Baiseur
Rarement
Epris

Bienvenue dans le forum francais de lit cher membre! ( haha, quel jeu de mots! Cher membre ET nouveau membre.....)
 
didijune48 said:
Suave Sim, seriez-vous si soumise a savant serviteur que si peu souvent vous soyiez surprise parmis vos suivants?

Charmant! :rose: Tu vois bien que toi aussi tu sais jouer avec les mots! Et puis toi aussi tu m'as manqué ;) .

Bonsoir douce sim! :) Dit-donc, y aurait-il un probleme avec ton email? Tous mes messages me reviennent comme "failure to deliver" .....Quoiqu'il en soit, comment vas-tu chere amie?
Didi :heart:

Ben non! Je reçois mes e-mails, peut-être que mon serveur avait un problême ce jour là? :confused: Essais encore demain et si ça ne marche pas envoie moi un PM, j'ai aucun filtre de spam actif alors normalement je devrais tout reçevoir (parce que le serveur parfois prend les e-mail réguliers pour du spam).

membre said:
Me voici
Egrillard
Merveilleux
Baiseur
Rarement
Epris

Ça c'est toute une introduction! Bienvenue!
 
Last edited:
Merci pour cet accueil sympathique.
Qui veut bien m'expliquer comment poster une histoire ?
 
membre said:
Merci pour cet accueil sympathique.
Qui veut bien m'expliquer comment poster une histoire ?

Tiens, un nouveau... membre. Bienvenue.
Pour répondre à votre question, vous trouverez toute information utile ICI . En anglais bien sûr.

Merci pour ce bel hommage, chère Sim... Vous avez bien du talent... Heureux de vous revoir parmi nous...
 
chauderlos said:
Tiens, un nouveau... membre. Bienvenue.
Merci pour ce bel hommage, chère Sim... Vous avez bien du talent... Heureux de vous revoir parmi nous...

Âge du membre…
Intérêts du membre…
Longueur du membre…

BIENVENUE, CHER MEMBRE.

* * *

Professeur, comme d’aucuns, je m’incline très humblement devant votre formidable maîtrise de la plume. Qui me surprend, encore, ce matin. Et puis, et puis… comment saviez-vous que Bérénice était un de mes prénoms favoris ?
 
Burokrat said:
… comment saviez-vous que Bérénice était un de mes prénoms favoris ?

Sans doute passke vot' 'zième prénom l'est Titus?

Quant à mes talents d'plume... *rougissant, faussement modeste* ce n'est rien, v'verriez mes talents d'langue....
 
Charmant! :rose: Tu vois bien que toi aussi tu sais jouer avec les mots! Et puis toi aussi tu m'as manqué ;) .

C'est gentil, merci :eek:



Ben non! Je reçois mes e-mails, peut-être que mon serveur avait un problême ce jour là? :confused: Essais encore demain et si ça ne marche pas envoie moi un PM, j'ai aucun filtre de spam actif alors normalement je devrais tout reçevoir (parce que le serveur parfois prend les e-mail réguliers pour du spam).

Ben...c'est fait la!!! J'espere bien que tu recevra mon email! :confused:
 
membre said:
Merci pour cet accueil sympathique.
Qui veut bien m'expliquer comment poster une histoire ?

Ayez la gentilesse d'utiliser le thread commençant par le mot auteur pour nous avertir lorsque votre histoire paraîtra, je suis certaines que plusieurs voudront la lire et vous faire part de leurs commentaires!

chauderlos said:
Merci pour ce bel hommage, chère Sim... Vous avez bien du talent... Heureux de vous revoir parmi nous...

:eek: merci mais disons qu'il y avait pas mal plus de petits mots qui ne commençaient pas par la bonne lettre que dans les vôtres mais bon avec un peu de pratique peut-être...
 
Bon, un autre acrostiche...
Pour une belle qui se fait rare, pour lui montrer que nous ne l'oublions pas...

N aissant de l'écume, telle Vénus triomphante
Enfièvrant les hommes de sa poitrine opulente
Où pouvaient si nicher tant de vits enfièvrés
Masculins, certes, mais ô combien apeurés
A la vision de sa triomphante beauté
Génie, riante, et pourtant si fragile, si douce
Alarmée comme la caille, à la moindre secousse
Libertine et mutine, il faudra bien qu'un jour -
Il y aura bien ce jour, dis le moi sans détour
Enivrée, elle puisse enfin trouver son amour.


*********​
simulacre said:
:eek: merci mais disons qu'il y avait pas mal plus de petits mots qui ne commençaient pas par la bonne lettre que dans les vôtres mais bon avec un peu de pratique peut-être...
Je suis disponible pour des cours particuliers d'acrostiches et autres tautogrammes tous les jours sauf samedi, dimanche et veilles de fêtes.
Réduction pour les tours de poitrine dépassant le 95 C et les amatrices de 12 ans d'age. On parle Québéquois.
 
Last edited:
chauderlos said:
Je suis disponible pour des cours particuliers d'acrostiches et autres tautogrammes tous les jours sauf samedi, dimanche et veilles de fêtes.
Réduction pour les tours de poitrine dépassant le 95 C et les amatrices de 12 ans d'age. On parle Québéquois.

Zut! Ça veut dire que je dois payer plein prix? 34D au lieu du 95C (mon gallon à mesurer dit que ça fait 86D?) et pour le 12 ans d’âge on repassera (j’ai encore quelques années devant moi avant d’être mûre mais quand même…). Alors vous acceptez quelle monnaie d’échange? Le financement est-il disponible?

En attendant les cours particuliers, un acrostiche libre inspiré par celui qui parfois partage mon lit :

Baignes-moi d’une avalanche de baisers
Appétit qui ne connaît la satiété
Inassouvie ma chatte te supplie
Sangles-moi que je te sois soumise
Extase qui promet de naître
Scabreux les mots dont tu m’abreuves

Manges-moi de cette bouche habile
Orgasme qui menace de poindre
Impérieux le désir qui m’assaille
 
simulacre said:
Baignes-moi d’une avalanche de baisers
Appétit qui ne connaît la satiété
Inassouvie ma chatte te supplie
Sangles-moi que je te sois soumise
Extase qui promet de naître
Scabreux les mots dont tu m’abreuves

Manges-moi de cette bouche habile
Orgasme qui menace de poindre
Impérieux le désir qui m’assaille

:eek:

Mmmmmm…
 
chauderlos said:
Bravo... en voici un autre, de Musset (t'as le bonjour d'Alfred) à George Sand:

Quand je mets à vos pieds un éternel hommage
Voulez-vous qu'un instant je change de visage ?
Vous avez capturé les sentiments d'un cœur
Que pour vous adorer forma le Créateur.
Je vous chéris, amour, et ma plume en délire
Couche sur le papier ce que je n'ose dire.
Avec soin de mes vers lisez les premiers mots :
Vous saurez quel remède apporter à mes maux

et la réponse:

Cette insigne faveur que votre cœur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme

La Georgette avait, au préalable, envoyé cette missive à l'Alfred:

Je suis très émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
la une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête a montrer mon
affection toute desinteressee et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
vous dévoiler sans artifice mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
en amitié, en un mot la meilleure preuve
que vous puissiez rêver, puisque votre
âme est libre. Pensez que la solitude où j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
difficile. Ainsi, en y songeant j'ai l'âme
grosse. Accourez donc vite et venez me la
faire oublier par l'amour ou je veux me
mettre.

Romantique, n'est ce pas?
 
Mais cette missive devient beaucoup moins romantique dès qu'on la lit en sautant... une ligne sur deux. Vous voyez? Non? Allez, je vous aide...

Je suis très émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
la une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête a montrer mon
affection toute desinteressee et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
vous dévoiler sans artifice mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
en amitié, en un mot la meilleure preuve
que vous puissiez rêver, puisque votre
âme est libre. Pensez que la solitude où j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
difficile. Ainsi, en y songeant j'ai l'âme
grosse. Accourez donc vite et venez me la
faire oublier par l'amour ou je veux me
mettre.

....
 
Ho là là! Ça se complique et mon cerveau qui ne fonctionne qu'à la vitesse lente après 16h ces temps-ci... Merci d'avoir partagé Chauder, c'est amusant mais cette fois-ci je crois que je vais passer mon tour et laisserais les plumes plus expérimentées s'y essayer.
 
chauderlos said:
Mais cette missive devient beaucoup moins romantique dès qu'on la lit en sautant... une ligne sur deux. Vous voyez? Non? Allez, je vous aide...

Je suis très émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
la une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête a montrer mon
affection toute desinteressee et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
vous dévoiler sans artifice mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
en amitié, en un mot la meilleure preuve
que vous puissiez rêver, puisque votre
âme est libre. Pensez que la solitude où j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
difficile. Ainsi, en y songeant j'ai l'âme
grosse. Accourez donc vite et venez me la
faire oublier par l'amour ou je veux me
mettre.

....

Vraiment tres interessant! Je n'y aurais jamais pense...
 
chauderlos said:
Titre d'une exposition consacrée à l'architecte Charlotte Pierrand au Centre Pompidou:

L'habiter moderne


L'habiter moderne
=
La bite est moderne​

Pff, ça ne vous a pas sauté aux yeux, si je puis dire ?
 
chauderlos said:
L'habiter moderne
=
La bite est moderne​

Pff, ça ne vous a pas sauté aux yeux, si je puis dire ?

LOL, non effectivement celle-ci je ne l'avais pas vu! :D
 
Une étoile s'est éteinte
Dans un ciel déjà sombre
Ses messages envolés, sa trace effacée
Perdue dans le vent

Un goût amer
D'inachevé et de cendres
Ne pas avoir su, ne pas avoir vu
Bah, trop tard, une fois de plus

Mais pourquoi, damnée technologie
Faut il que ceux qu'on aime
Soient de l'autre côté du monde
Trop loin pour les embrasser ?

Sans doute, oui, bien sûr
La vie, tout ça, le destin
Ben voyons, la bonne excuse
Pour regarder ailleurs

Un jour, tout nous sera compté​
 
Ce qu'il y a de bien, avec ce damné forum français, c'est qu'on peut le quitter un mois, six mois, un an, on revient, et rien ne change.

Tout le monde se plaint qu'il soit moribond, voir carrément sous respiration artificielle, et pourtant personne ne relève le gant, personne ne relève le défi… Pas étonnant que l'anglais soit devenu, l'espace de deux siècles la langue vernaculaire du monde…. Non que je vous en veuille, estimés lecteurs, adorables lectrices. Votre vie réelle est sans doute mille fois plus intéressante que votre vie virtuelle. Il se trouve qu'en ce moment, je suis dans le cas inverse. Ergo, je renoue avec mes habitudes. Sans doute pour mon seul bénéfice, mais qu'importe. Si j'étais un peu plus doué pour la télématique et ce genre de choses, je créerai volontiers un blog. Mais je serai dans ce cas encore moins lu que je ne le serai ici. Ma renommée est encore loin d'être universelle. Malgré le talent que, faiblesse ou flagornerie, certains ont bien voulu me reconnaître.

Non pas, lecteurs à la poigne virile et lectrices à la poitrine haletante, que je sois resté inactif ces derniers mois. Je me suis aventuré sur des forums divers et variés. J'ai goûté aux charmes vite surannés de la nouveauté. Je me suis même aventuré en des terrains dont je préfère taire le nom, tant j'en ai honte. Comme si, toutes proportions gardées, Balzac avait tenté de se faire publier chez Harlequin. Encore que lui, au moins, avait l'excuse de besoins financiers constants. Tandis que moi, j'ai juste besoin d'attention.

Oui, lecteurs ébaubis par la fulgurance de ma rhétorique et par la munificence de mon style, lectrices pantelantes de désirs inavoués pour mon corps d'Adonis et pour mes talents d'amant infatigable et imaginatif, oui, j'ai besoin de votre admiration, de votre amour et de votre dévotion.

C'est pourquoi j'ai le plaisir de vous annoncer, dans les jours prochains, la réouverture du cours Chauder. Plus débridé, plus brûlant et plus flamboyant que jamais.

Le fait que je sois sans emploi dans un mois, que je ne sache pas bien où vont mon couple et ma vie, que je ne sache pas ce qu'est une amie virtuelle devenue et que j'aie une fois encore abusé de produits de la distillation d'orge est, comme il se doit, sans rapport avec ce qui précède.

Est-il utile de préciser que, sans l'inscription rapide d'une cour froufroutante de jeunes femmes aux formes voluptueuses et aux dessous chatoyants, le cours fermera ses portes définitivement?
 
Last edited:
Une réponse facile, jeune personne pleine de curiosité, serait de vous dire: ben, t'as qu'à lire les posts de l'inénarrable professeur Chauder, et tu verras de quoi il retourne, hé patate !

Mais d'une part je suis bien trop bien élevé pour vous répondre pareillement et d'autre part ce serait un peu trop succinct pour être honnête. La question reste cependant entière: quel est le contenu du cours Chauder? Son but? Quelle quête secrète habite cet homme d'une haute teneur morale et d'un altruisme inoxydable? A part jeter des regards obliques sous les jupes des filles assises au premier rang (oui, Mademoiselle, le port de la jupe, courte de préférence, est obligatoire par ici. Le décolleté plongeant, sans être essentiel, est néanmoins fort apprécié du corps enseignant. Du corps caverneux du dit corps, pour être précis), quel est son but? Que recherche-t-il?.

Vaste question. Je ne peux, dusse ma modestie naturelle en souffrir, que me citer moi-même. Encore que non, ce n'est pas une bonne idée, je viens de me rendre compte, tardivement, que dans un des accès d'autodestruction dont je suis coutumier, j'ai effacé le contenu du message reproduisant le discours inaugural. Tout est donc à refaire. Mais la vie n'est-elle pas un éternel recommencement?

Le but du cours est simple, tout comme l'est le postulat qui lui sert de base: le Prof. Chauder sait tout. Nulle question ne saurait résister à la sagacité de sa curiosité, à l'acuité de son raisonnement, à la profondeur de sa réflexion et à l'immensité de sa culture. Les élèves sont donc invités à poser toute question qu'ils jugent utile au développement harmonieux de leur personnalité, à l'accroissement du champ de leurs connaissances et à la satisfaction de leur soif inextinguible de savoir. Ah, la joie de la découverte… Un peu comme lorsqu'adolescents, nous jouions à touche-pipi avec notre charmante cousine. Ou notre charmant cousin, selon que l'on soit cousine soi-même amateur de brioche infernale.

Est-il utile de préciser que, tant par la nature du site sur lequel il sévit que par inclinaison naturelle, les question sur lesquelles le Prof aime à s'étendre ont bien souvent un rapport plus ou moins lointain, et souvent plus que moins, avec la sexualité. Soit explicitement; soit par ricochet: la cuisine, les arts en général, les vins, sont des sujets sur lesquels il disserte allégrement, pour peu qu'il puisse y glisser, à défaut d'autre chose, une allusion aux éléments d'anatomie féminine qui font ses délices. Oui, depuis l'époque lointaine où, adolescent, il jouait à touche-pipi avec son adorable cousine.

A l'occasion, comme il est de coutume dans tous les cours, il y a interrogation. Devoir sur table (ou sous table, ce qui est préférable pour la préservation de la décence), ou à faire à la maison. Les sujets, vous l'aurez deviné, sont bien évidemment plus proches du commentaire de textes extraits des classiques de la littérature érotique que de l'exégèse des œuvres complètes de Saint Augustin.

Ne craignez pas enfin de ne pas être à la hauteur. Le cours est ouvert à tous, sans distinction. La preuve, on y accepte même les Américains.

Quand à votre allusion aux mots qui coulent facilement, vous n'avez qu'à passer dans mon bureau après la classe. Vous pourrez constater de tactu et de visu qu'il n'y a pas que les mots qui coulent facilement, chez moi.
 
*entre dans l'amphithéâtre vide, s'asseoit quelque part et attends patiemment la rentrée et ses collègues* :)
 
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