Les opinions superflues du Professeur Chauder

[simulacre]

Mademoiselle Sim,

Bonjour ma petite chérie (Ben oui. Signalons ici l’ajout discret de l’adjectif « petite », au féminin. Utilisé, diriez-vous, à tort et à travers, en Amérique française, dans des contextes populistes comme : “mon p’tit crisse de baptême” où encore “la p’tite kâlisss”).


Notant l’arrivée discrète MAIS tardive d’une élève, Burokrat écarte, d’un mouvement preste et élégant les pans de sa toge, bombe le torse, s’appuie sur le lutrin, fait face à l’amphithéâtre qui affiche complet… et, finalement, imprime à son bassin un sensible mouvement de rotation suggérant - à qui veut bien l’entendre - que son ” petit bout entre les cuisses “ peut, à l’occasion, perdre son attribut de ” petit “, si les circonstances objectives pré-copulatoires s’y prêtent… quoique dans le cas présent - et considérant le décorum ambiant - en l’absence de quelque stimuli visuel approprié, un statu quo flasque sévit.


Pour le bénéfice de l’ensemble des élèves thrèdeurs (drices) ici présents, auriez l’insigne gentillesse de faire part, à nous tous, ici-d’dans, quel livre apporteriez-vous ? À moins que vous ne préférassiez vous exposer d’une manière plus distrayante pour l’ensemble de cette classe ?


Quelques rires discrets, épars, venant principalement de l’arrière de l’hémicycle


À l’ordre !


Moins de rires. Beaucoup moins.


On attend tous avec impatience, ma chérie…


On ne rit plus…


* * *


Quant à vous, Didijune, j’hésite à vous faire mettre à genoux. Devant tout le monde où plus tard. Bof… tiens, ce soir à mon bureau, ça vous va ?

Petite????? hummmpf

Dernière rangée de l'auditorium ok, mais le siège qui se situe juste à côté de l'escalier central. Sim se tourne légèrement sur son banc et déplie ses longues jambes qui supporte son 5'8, auquel elle ajoute d'ailleurs toujours au moins un petit '2 par l'entremise de chaussures tout à fait incomfortables mais combien seyantes. Elle croise ses jambes, nous disions donc, dans cet escalier central, et déplace légèrement sa jupe. Voilà, j'espère qu'il a une belle vue d'en bas le rouquin parce que s'il veut m'appeler petite maintenant il va falloir qu'il y ajoute autre chose, ce fameux Krissse par exemple... ma chérie, c'est très bien mais, mais petite chérie ça va pas du tout, sourtout qu'il a pas l'air très grand vue d'en haut, m'enfin c'est peut-être la perspective?

Bon, bon, un livre sur une île déserte? Un livre? Mais combien de temps est-ce que je suis supposée y rester moi sur sa foutu île déserte, y va quand même pas me laisser poireauter là toute seule longtemps? Et comment est-ce que j'suis s'posée me concentrer quand y roule du bassin comme ça? Y fait chaud ici.

Ok, Sim, un livre? Il faudrait que ce soit quelque chose qui soit multiple, quelque chose qui puisse devenir autre puisque tu sais pas combien de temps il va te laisser pourrir là... un esprit a besoin d'exercise. Donc pas de fiction, poésie peut-être? Non, essais. Quelque chose qui toucherais à tout, qui pourrais t'amener à divaguer dans toutes les directions, s'il fallait que tu ais à tenir ton esprit en laisse tu meurs non? Alors quelque chose qui te permette de vagabonder d'un sujet à l'autre, qui ouvrirais ton imagination sur autre chose...? Ça y est, j'y suis Montaigne. Ben oui, les essais de Montaigne.

Il a parlé de punitions pour les retardataires... Hummm! Peut-être que j'aurais dû attendre un peu plus...

 

[didijune48]

Quelques ricanements, immédiatement suivis par le regard obséquieux et sévère de burokrat.

Puis, invariablement, retour immédiat du silence.

Bon. D’autres volontaires, avant que notre maître à tous ne revienne?

Je tiens à féliciter tous les participants à cet exercice passionnant. Et à signaler aux retardataires féminins qu’il ne perdent arrrrrrrrrrien pour attendre leur punition.

" Ouais, ouais...ils peuvent bien ricaner celles-la. C'est qui qui va se retrouvee toute seule avec le charmant pantalon....heu..professeur ce soir apres les cours?! J'imagine aisement les jalouses! S'il me fait mettre a genoux, qu'a cela ne tienne, on verra bien qui finira a genoux a la fin.....un joli teton flanant, une petite culotte absente?!? Hum, j'ai ma petite idee!"

Punition!? Oui, oui cher maitre, c'est vous qui le serai...de plaisir! .....

 

[Burokrat]

Burokrat rajuste le petit col de sa chemise, replace sa toge et, au passage, jette un regard furtif MAIS intense (dans le sens de : st’intense, man, tsé-veux-dille?) sur un remarquable mouvement de jambes à hauteur du niveau 24 de l’auditorium (regard qui passe inaperçu dans ce temple de la science, camouflé - bien entendu - par la gestuelle ratoureuse de votre suppléant favori).

Bien entendu, Burokrat se rémémore les lois de la perspective - apprises à la dure, naguère, lors de son passage en classe de dessin. Et de citer directement des pages jaunies du syllabus aux coins retroussés : « Comme son nom l'indique, la contre-plongée est le contraire de la plongée. Plutôt que de regarder vers le bas, et d'avoir un sentiment de domination *, on regarde cette fois ci vers le haut. »

Parce qu’en bref, ma chérie, vu d’en bas, là-haut, c’est supposé être plus petit et vu d’en haut, en bas ce devrait être plus grand que si une petite voyait grand, à moins qu’elle ne souffre de myopie où que l’altitude de ses élégants cinqethuit raréfient l’oxygène et distortionnent la perspective, auquel cas mes cinqetonze suffiraient à peine à distinguer de loin, de proche où de travers ?

Bon. Petite. Grande. Burokrat ne peut vraiment savoir, parce que ce mouvement de jambes, voyez-vous, prertrurbre (oui, oui, vous avez bien lu : prertrurbre du verbre prertrurbrer, plus intense, man, tsé-veux-dille que simplement perturber) son flux sanguin qui - allons-y sans coup férir - passe au sud de son propre équateur à ce moment crucial.

Torrrrrrride.

À suire.

Didijune, S’il-vous-plaît, dans mon bureau immédiatement.

Bon. Dois-je conclure que la participation à cet exercice est maintenant terminée ?

* Les italiques sont de soi-même

 

[simulacre]

" Ouais, ouais...ils peuvent bien ricaner celles-la. C'est qui qui va se retrouvee toute seule avec le charmant pantalon....heu..professeur ce soir apres les cours?! J'imagine aisement les jalouses! S'il me fait mettre a genoux, qu'a cela ne tienne, on verra bien qui finira a genoux a la fin.....un joli teton flanant, une petite culotte absente?!? Hum, j'ai ma petite idee!"

Punition!? Oui, oui cher maitre, c'est vous qui le serai...de plaisir! .....

Pssst....Psssst.... Didijune?

Alors? Ça y est? Tu es passé au bourreau, heu bureau? Il est comment? Allez, dis-moi? Chanceuse va.

 

[didijune48]

Burokrat rajuste le petit col de sa chemise, replace sa toge et, au passage, jette un regard furtif MAIS intense (dans le sens de : st’intense, man, tsé-veux-dille?) sur un remarquable mouvement de jambes à hauteur du niveau 24 de l’auditorium (regard qui passe inaperçu dans ce temple de la science, camouflé - bien entendu - par la gestuelle ratoureuse de votre suppléant favori).

Bien entendu, Burokrat se rémémore les lois de la perspective - apprises à la dure, naguère, lors de son passage en classe de dessin. Et de citer directement des pages jaunies du syllabus aux coins retroussés : « Comme son nom l'indique, la contre-plongée est le contraire de la plongée. Plutôt que de regarder vers le bas, et d'avoir un sentiment de domination *, on regarde cette fois ci vers le haut. »

Parce qu’en bref, ma chérie, vu d’en bas, là-haut, c’est supposé être plus petit et vu d’en haut, en bas ce devrait être plus grand que si une petite voyait grand, à moins qu’elle ne souffre de myopie où que l’altitude de ses élégants cinqethuit raréfient l’oxygène et distortionnent la perspective, auquel cas mes cinqetonze suffiraient à peine à distinguer de loin, de proche où de travers ?

Bon. Petite. Grande. Burokrat ne peut vraiment savoir, parce que ce mouvement de jambes, voyez-vous, prertrurbre (oui, oui, vous avez bien lu : prertrurbre du verbre prertrurbrer, plus intense, man, tsé-veux-dille que simplement perturber) son flux sanguin qui - allons-y sans coup férir - passe au sud de son propre équateur à ce moment crucial.

Torrrrrrride.

À suire.

Didijune, S’il-vous-plaît, dans mon bureau immédiatement.

Bon. Dois-je conclure que la participation à cet exercice est maintenant terminée ?

* Les italiques sont de soi-même

La participation a cet exercice est-elle terminee?..... Pour les eleves (feminines il va s'en dire...) oui. Mais pour vous cher maitre...elle ne fait que commencer!
Didi

 

[didijune48]

Pssst....Psssst.... Didijune?

Alors? Ça y est? Tu est passé au bourreau, heu bureau? Il est comment? Allez, dis-moi? Chanceuse va.

Hummm, toujours au bureau en ce moment mais, ne t'en fais pas..je te donne tous les details des que J"EN ai finit avec le maitre....devenu agneau....
Didi

 

[chauderlos]

Bien. Bien, bien, bien.

Mais encore?

On continue dans la gaudriole olé-olé, ou on se remet au travail?

On se remet au travail. Bien. Je n'en attendais pas moins de vous.


Grand Un. Merci à l'estimé Burokrat qui, contre vents et marées (regards appuyés vers la rangée 24) a su maintenir un semblant d'ordre dans cet amphithéatre, phithéatre, phithéatre, tsoin tsoin... (Notons au passage que le sus(oh, oui, sus) mentionné Burokrat porte très bien la toge.... )

Grand Deux. Les usages en vigueur dans le cours Chauder, depuis sa création, veulent que le maïtre (càd celui qui porte toge et épitoge) ait l'exclusivité des visions sub-jupaires et assimilées. Et venez pas me casser les bonbons, j'ai pas le temps de vérifier dans le Gaffiot comment se dit "jupe" en latin.

Grand trois. Merci pour la citation des Essais de Montaigne. Oh, putain, ça c'est de la littérature, ou je m'y connais pas. Et croyez moi, j'ai essayé: on peut. Mais c'est pas facile.

Grand quatre. Ca fait plaisir de vous revoir, bande de cancres.

Grand cinq. J'eus jamais cru qu'il fut aussi difficile de taper sur un clavier après l'ingestion de quelques (sic) centilitres de grand cru classé.

Grand six. Mon livre-à-emporter-sur-une-ile-déserte. Belle du Seigneur, d'Albert Cohen. Quitte à regretter ce choix demain.


Je vous aime tous. Surtout toi, friponne.

 

[simulacre]

Contente de vous revoir, maître? Si j'ai bien compris on doit vous appeler Maître ici? Par contre, est-ce que ça veut dire que je ne serai pas punie, j'ai travaillé si fort cette semaine avec votre remplaçant pour être punie, juste une petite fessée, de rien du tout, s-v-p...

 

[simulacre]

Hummm, toujours au bureau en ce moment mais, ne t'en fais pas..je te donne tous les details des que J"EN ai finit avec le maitre....devenu agneau....
Didi

Je veux tout savoir, particulièrement ce qui se cache sous sa toge...

 

[didijune48]

Je veux tout savoir, particulièrement ce qui se cache sous sa toge...

A l'oreille de sim:
"OUPSSSS Desolee, peux pas, le VRAI Maitre est de retour......On s'est fait prendre en flagrand deli...."

Ha! MAITRE Chauder, ( reverence tres, tres, tres basse .....esperons que le decolete va jouer en ma faveur.....) Je suis si heureuse de vous retrouver. Vous nous avez manque vous savez.

Didi

 

[chauderlos]

Bon, ce matin, le maître fait au mieux 75 cm...

Mais que mon retour ne vous empêche en rien de vous livrer à vos ébats préférés... au contraire. Vous avec toute licence (sic) pour ce faire.

Je n'ajouterai qu'une chose: les visions de longues jambes fuselées (les jambes sont toujours fuselées, comme les dentelles sont arachnéennes et les membres turgescents...) à peine voilées par une jupe largement fendue pourraient être qualifiées de subcastulaires; mais je ne garantis rien.

Et je maintiens Belle du Seigneur, à la reflexion. A lire au moins quatre fois. Au moins. Une fois pour se faire une idée de l'histoire. Et encore. Une fois pour ne lire que les passages poético-délirants. Une troisième pour lire les chapitres narratifs. Une quatrième pour se refaire une idée du foisonnement, de la multitude, de la poésie, de l'ensemble. Au delà... Ma foi, c'est comme pour l'Ulysse, de Joyce. On aime ou on n'aime pas. Moi j'aime. Beaucoup.

Et je retourne me coucher. Faites comme si je n'étais pas là.

 

[Mr Edward]

*lève lentement le nez de sa copie et voit le Prof. Chauder revenir. Essaye de me rhabiller ni vu ni connu mais comme je vois que pratiquement tout l'amphi est à moitié à poil, je laisse tomber puis dans un élan de bon élève (non pas fayot) commence à citer une partie des Onze mille verges d'Apollinaire que j'ai particulièrement apprécié, en précisant qu'il m'a bien fait sourire: "Mony, tu es un poète archi-divin, viens me baiser dans le sleeping-car, j'ai l'âme foutative.". Puis je me retourne vers l'amphi pour voir si les autres ont apprécié.
J'en avais oublié mon érection matinale qui vient poindre au visage de ma voisine de cours...

 

[simulacre]

A l'oreille de sim:
"OUPSSSS Desolee, peux pas, le VRAI Maitre est de retour......On s'est fait prendre en flagrand deli...."
Didi

Zut! C'est pas grave tu me raconteras plus tard Didi et puis je trouverais bien un moyen d'aller voir par moi-même.

Bon, perspective ou pas (première règle d'ailleurs à laquelle toutes les autres sont assujetties: plus c'est loin, plus c'est petit), le Maître ne lui apparaît pas bien grand ce matin, allons maître, redressez-vous un peu, roulez les épaules vers l'arrière, le torse bien bombé, un peu de charisme s-v-p. Voilà, c'est mieux. Décidément le décolleté de Didi a des effets bénéfiques. Sim aimerais bien pouvoir y jeter un coup d'oeil elle aussi, curieuse va. D'ici elle ne vois que son dos, remarquez s'il est aussi jolie que celui de Mlle Pixie, le Maître a effectivement de quoi se redresser.

Sim balaie l'amphithéâtre des yeux, pas de rouquin en vue, dommage... le maître ne voyant que Didi en ce moment, elle aurait bien jeté, dévoilé un tout petit peu peut-être, ses charmes sur ce spécimen au vocabulaire incongru.

Tiens, tiens. Mr Edward semble en mettre plein la vue, ou plein la bouche il me semble, à sa voisine. Sim adresse une demande sileucieuse à Didi afin qu'elle maintienne le regard du Maître sur ses courbes gracieuses, si Mr Edward se fait prendre, ça va chauffer .

On dirait bien qu'il n'y aura pas de cours aujourd'hui, donc pas de devoir pour le week-end, tant mieux Sim aura peut-être le temps de peindre un peu...

 

[chauderlos]

"Mony, tu es un poète archi-divin, viens me baiser dans le sleeping-car, j'ai l'âme foutative."

L'âme foutative... Comme cet adjectif est charmant... Je saurai m'en souvenir. Merci de me l'avoir rappelé...

Juste comme ça, en passant. Pour qu'il ne soit pas dit que, tombant sous les charmes (opulents? charmants? juveniles? le mystère plane, et j'espère qu'il en restera longtemps ainsi), de Melle Simulacre, le Prof néglige sa salle de cours préférée, son port d'attache, son gynécée...

L'important, dans la perspective, c'est le point de fuite.

Et puisque certaines (regard appuyé vers la rangée 24. Jolies jambes, jolis talons) semblent regretter l'absence de devoirs, voici une suggestion. Histoire de vous occuper tandis que j'oeuvre pour la demoiselle sus-nommée, à défaut d'oeuvrer pour la posterité.

A partir de ces quelques vers (extraits de Fortaleza, de Bernard Lavilliers), imaginez une suite, une situation, une scène. Prenez votre temps. Je ne suis pas pressé. Surtout tant que j'aurai d'aussi charmants appâs sous les yeux...

Elle avait les tarots tatoués
Sur l'épaule droite encadrés
Par deux cicatrices au couteau
Elle était née à Buenos Aires
Métisse d'indienne et de SS
Elle portait à son poignet droit
Lembrança do Senhor do Bonfim da Bahia
Da Bahia, da Bahia


*s'esquive dans un grand mouvement de cape -le grand mouvement d'épée, ce sera pour plus tard*

 

[simulacre]

Lembrança do Senhor do Bonfim da Bahia
Da Bahia, da Bahia

 

[didijune48]

Hey Sim! Je viens de lire ton histoire et comme je ne desire pas t'envoyer de commentaires "anomymes", je le crie ici meme HAUT ET FORT!!!!!!!


((((((((((((((((((((((((((((((((((((((SUPER)))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))

{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{BRAVO!}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}

 

[simulacre]

Hey Sim! Je viens de lire ton histoire et comme je ne desire pas t'envoyer de commentaires "anomymes", je le crie ici meme HAUT ET FORT!!!!!!!


((((((((((((((((((((((((((((((((((((((SUPER)))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))

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Merci beaucoup Didi! Là au moins je sais que sur les quelques plus de 150 personnes qui ont été y jeter un coup d'oeil, il y a au moins une personne qui l'a aimé. Mon égo a beau ne pas être dans ma plume le silence total c'est lourd un peu.

Merci encore

 

[PixieSprite]

Simulacre, moi aussi j'ai beaucoup aimé ton histoire! Si donc je pouvais écrire de même... J'ai hâte de lire les prochaines histoires que tu partageras avec nous!

 

[simulacre]

Simulacre, moi aussi j'ai beaucoup aimé ton histoire! Si donc je pouvais écrire de même... J'ai hâte de lire les prochaines histoires que tu partageras avec nous!

Ahh! T'es fiiiine! Merci!

Prochaine histoire... Sim va décidément écrire quelques lignes avant le dodo maintenant qu'elle a deux lectrices! Un peu inquiète cependant de ce que dira le Maître quand il vera le "highjack"...

 

[chauderlos]

Allez, les filles, un peu de culture générale...

Lembraça = bracelet, en portugais.

Senhor do Bonfim da Bahia = église de Notre-Seigneur, à Bahia, Etat de Salvador, Brésil.

Les lembraças sont des rubans de tissus de toutes les couleurs que l'on fait bénir à l'église en question et qu'on porte noués au poignet en faisant un voeu. Lorsque le bracelet se détache, le voeu se réalise.


Voir photo.


A part ça, les filles, si je vous dérange, faut le dire... p'être que ça finira en broutage de gazon, votre petite affaire....

 

[Burokrat]

A part ça, les filles, si je vous dérange, faut le dire... p'être que ça finira en broutage de gazon, votre petite affaire....

Tiens, tiens ? Quelqu’un pour m’indiquer le jacuzzi le plus proche?

 

[chauderlos]

Tiens, tiens ? Quelqu’un pour m’indiquer le jacuzzi le plus proche?

Méfiance, si elles nous indiquent le jacuzzi, p't'être qu'elles nous demanderont d'attendre au sauna...

 

[didijune48]

Allez, les filles, un peu de culture générale...

Lembraça = bracelet, en portugais.

Senhor do Bonfim da Bahia = église de Notre-Seigneur, à Bahia, Etat de Salvador, Brésil.

Les lembraças sont des rubans de tissus de toutes les couleurs que l'on fait bénir à l'église en question et qu'on porte noués au poignet en faisant un voeu. Lorsque le bracelet se détache, le voeu se réalise.


Voir photo.


A part ça, les filles, si je vous dérange, faut le dire... p'être que ça finira en broutage de gazon, votre petite affaire....

Broutage de gazon....hum, c'est a y penser.... Seriez-vous inquiet de ne pas etre de la partie cher Maitre!!!

Ces rubans, c'est une charmante tradition...j'aime l'idee!
Didi

 

[simulacre]

Allez, les filles, un peu de culture générale...

Lembraça = bracelet, en portugais.

Senhor do Bonfim da Bahia = église de Notre-Seigneur, à Bahia, Etat de Salvador, Brésil.

Les lembraças sont des rubans de tissus de toutes les couleurs que l'on fait bénir à l'église en question et qu'on porte noués au poignet en faisant un voeu. Lorsque le bracelet se détache, le voeu se réalise.

Ça c'est votre job à vous cher Maître, nous on vient en classe pour apprendre (entre autres choses). Allons, on sait bien que ça vous fait plaisir de faire étalage de votre savoir. Cultivez-nous, on ne demande pas mieux, un petit arrosage de temps à autre... hummm!

A part ça, les filles, si je vous dérange, faut le dire... p'être que ça finira en broutage de gazon, votre petite affaire....

C'est quoi ça, un petit morceau de vilaine jalousie qui pointe son nez? Allons vous devriez être heureux que vos élèves coopèrent, sinon comment allez-vous nous satisfaire toutes. Et puis le broutage de gazon ça peut aussi être intéressant pour ceux qui regardent, non?

 

[didijune48]

Ça c'est votre job à vous cher Maître, nous on vient en classe pour apprendre (entre autres choses). Allons, on sait bien que ça vous fait plaisir de faire étalage de votre savoir. Cultivez-nous, on ne demande pas mieux, un petit arrosage de temps à autre... hummm!



C'est quoi ça, un petit morceau de vilaine jalousie qui pointe son nez? Allons vous devriez être heureux que vos élèves coopèrent, sinon comment allez-vous nous satisfaire toutes. Et puis le broutage de gazon ça peut aussi être intéressant pour ceux qui regardent, non?

Voila qui est bien dit chere consoeur!
Alors...on y va?